Le Gros Chêne
Etablissement Public - Pontivy
dimanche 13 avril 2014
Journée Bois Energie
Des élèves de BTS ACSE ont organisées en coopération avec la Chambres d'Agriculture de Bretagne, qui a attirée une centaine de personnes.
Les participants consultés, ont apprécié la qualité de cette journées. Tous les sujets ont été abordés par les différents spécialistes : intérêt patrimonial, agronomique, milieu naturel, valorisation économique à l’échelle de l’exploitation ou d’un territoire, exploitation et mode de gestion modernes.
Les démonstrations de matériel ont permis de voir grandeur nature, des outils performants dédiés à la fabrication de plaquettes, rendant désormais accessible la valorisation des haies pour le chauffage ou pour le paillage.
mardi 18 mars 2014
Le bilan!!
Au Salon de l'agriculture quatre étudiants gagnent à la pétanque
Pierre Guéhenneux, Rémi Cadio, Mickaël Harnois et Kévin Jaffré, étudiants en deuxième année de BTS « Analyse et conduite des systèmes d'exploitation » au lycée le Gros-Chêne, étaient eux aussi engagés sur l'un des concours du Salon international de l'agriculture à Paris, en l'occurence le Trophée national des lycées agricoles (lire ci-contre, le concours des deux lycéens de Kerlebost). Une première dans l'histoire de leur établissement. Accompagnés de deux professeurs et de leur vache Prim'hostein, ils n'ont pas eu la réussite espérée, face à leurs concurrents venus de toute la France. En raison d'un problème sanitaire, Excellence a même dû être remplacée au pied levé par Destelle. L'inexpérience leur a sans doute fait défaut, ce qui explique leur 29e et dernière place dans la section lait. « On ne savait pas comment cela se passait. Lors de l'épreuve du clippage (préparation de la vache), on n'a même pas eu le temps de faire la ligne de dos. Lors de la présentation orale, certains candidats avaient carrément prévu un spectacle, avec de la musique. D'autres sont venus avec des cars de supporters... ». Il n'empêche, cela « restera une belle expérience. On a réussi à démarcher des sponsors pour financer notre projet. Maintenant, on attend le détail des notes pour savoir où on a pêché ». Le petit groupe n'est tout de même pas rentré bredouille de son séjour d'une semaine, puisqu'il a remporté le concours de pétanque, organisé le jeudi soir face aux mêmes adversaires. Cela reste un trophée malgré tout !
Le télégramme
dimanche 23 février 2014
ça approche!!
Pour la première fois, le lycée le Gros-Chêne va concourir au Salon de l'agriculture à Paris. Avec « Excellence », leur vache prim'holstein, les quatre étudiants en BTS espèrent bien figurer face à leurs 50 adversaires. Verdict : dimanche prochain. Mardi midi, Pierre Guéhenneux, Rémi Cadio, Mickaël Harnois et Kévin Jaffré, étudiants en deuxième année de BTS « Analyse et conduite des systèmes d'exploitation » au lycée le Gros-Chêne prendront la route du Parc des expositions de Paris, situé Porte de Versailles (XVe arrondissement), où se tient le Salon international de Paris. À bord de leur bétaillère, « Excellence », une vache prim'holstein de la ferme pédagogique de leur établissement, âgée de 5 ans (et un poids de forme de 700 kg), qu'ils ont choisie pour concourir au Trophée national des lycées agricoles. C'est la première fois que le Gros-Chêne participe au salon. Pour les quatre étudiants, c'est l'aboutissement d'un projet lancé en septembre, pour lequel il leur a fallu, entre autres, réunir un budget de 2.000 € grâce au sponsoring d'entreprises locales et une aide du lycée.
Première traite à 5 h du mat
Mais le plus dur ne fait que commencer. Dès mercredi, pendant cinq jours, ils vont être jugés lors de quatre épreuves, la cinquième étant la mise en place d'un site internet dédié à leur concours. Hébergés dans un mobile-home, au camping du bois de Boulogne, ils devront, durant les journées, assurer l'animation d'un stand et l'accueil des visiteurs, mais aussi réussir l'épreuve du clippage, c'est-à-dire la préparation de leur vache (tonte, lavement). Dimanche, épreuve de présentation, qu'ils devront réaliser en français et en anglais. « On devra s'occuper d'Excellence toute la semaine : son lavage, sa litière et sa traite deux fois par jour, dont la première à 5 h du matin », explique les quatre étudiants, motivés à l'idée de se mesurer aux adversaires issus de cinquante établissements français.
« La fierté de représenter le lycée »
Pour espérer rentrer avec la coupe honorifique de vainqueur, dimanche prochain, il faudra que leur vache laitière se montre aussi détendue que ces dernières semaines, lors des séances d'entraînement pour « le dressage et lui apprendre à marcher de façon précise. Espérons qu'elle reste aussi calme, avec la foule, le bruit et la musique. Mais ça devrait aller, elle a l'habitude de voir du monde ». Au-delà du concours, le but est déjà atteint, quoi qu'il arrive : le projet, pour lequel ils seront bien notés, compte pour l'obtention de leur BTS. Et puis, il y a « la fierté de représenter le lycée et de lui donner une bonne image ».
Le télégramme
jeudi 6 février 2014
L'autonomie : un enjeux important.
La flambée du prix du soja a un impact énorme sur les charges alimentaires et le revenu des éleveurs qui cherchent par des moyens innovants et relativement techniques une autonomie alimentaire.
Les mélanges céréaliers appelés méteil, ainsi que la luzerne et l'affouragement en vert sont des techniques innovantes et relatives au problème de prix élevés des concentrés.
De plus, l'implantation de légumineuses comme le trèfle, dans la rotation, permet un bénéfice agronomique très important.
Afin d'allier revenu et environnement, je vous invite à regarder la vidéo suivante !
lundi 3 février 2014
Quel avenir pour 2015 ?...
La suppression des quotas laitiers, outil de régulation du marché du lait en Europe, programmée pour 2015, va bousculer la filière. Une perspective qui inquiète les éleveurs français. La question du renforcement de la position des producteurs dans la chaîne d'approvisionnement a été un des points durs du dernier round de négociation de la réforme de la Politique Agricole Commune (PAC).
Quels changements pourraient se dessiner après 2015 ?
Plusieurs idées se dégagent. On devrait observer une concentration des effectifs de vaches laitières dans le croissant laitier et à l'inverse, plutôt une déprise dans des zones où le lait est marginal.
On pourrait également aller vers davantage de spécialisation de l'atelier lait, ce qui sous-entend des animaux à haut potentiel laitier et de moins en moins conformés. Le revenu viande deviendrait marginal et n’inciterait pas les producteurs à la finition des bêtes. La génétique pourrait encore accentuer ce phénomène, car l’amélioration des performances laitières se fait au détriment de la viande. Une diminution des réformes laitières et par conséquent du « minerai » pour le steak haché est donc à envisager. Pour l’instant, il est encore un peu trop tôt pour valider ces hypothèses.
"Camille et Antoine"
dimanche 2 février 2014
mardi 28 janvier 2014
L'écornage : tout en douceur !
Après la tonte pour dégager le cornillon, on peut procéder à l'écornage. |
Nous avons assisté jeudi 23
janvier à une formation sur l'écornage présentée par le GDS (Groupement de Défense Sanitaire).
Cette intervention nous a permis de voir
qu'il existe plusieurs techniques et qu'il est très important d'éviter de stresser
l'animal.
L’écornage doit être réalisé avant que le
cornillon ne soit sorti, et avant 4 semaines pour des raisons réglementaires.
Plus on attend, plus les cornes
poussent et plus le veau devient difficile à écorner. De plus le stress est
très limité avant l’âge d’un mois avec tous les impacts positifs que cela peut
avoir en matière de bien-être de l’animal et sur la croissance.
L’écornage des veaux peut se
réaliser par voie chimique ou thermique. Il nécessite une bonne contention
et une tonte de la zone afin de faciliter le travail.
L’écornage thermique est moins douloureux que
l’écornage chimique et est plus facile à réaliser. Il permet de brûler le tour du
cornillon grâce à un embout spécial dont le diamètre varie avec la taille du
cornillon.
Plus vite cette opération sera
réalisée et moins l’animal sera stressé.
Cliqué: Vidéo très intéressante sur le stress à l'écornage
lundi 27 janvier 2014
Les producteurs laitiers n'ont pas froid aux yeux !
-
Plus de 2,2 millions de litres de lait pour seulement 8 h de travail par jour !
GAEC de l'Epinay à Guer (56) |
Nous avons eu la chance de visiter le nouveau bâtiment du " GAEC de l'Epinay" à Guer dans le Morbihan.
Ce bâtiment a tout pour plaire et nous montre une agriculture bretonne ambitieuse, avec des éleveurs qui désirent produire 2,2 millions de litres de lait d'ici 2015.
L'investissement de 1,7 million d'euros permettra à 1 seul des trois membres du GAEC d'y travailler et de s'occuper des 222 vaches grâce à la robotisation entière de la traite, de l'alimentation, du raclage et du tri des animaux.
Toujours dans un esprit de bien-être et de confort, les éleveurs ont fait preuve ici d'ambition.
Un bien-être partagé !
On entend beaucoup parler du bien-être animal.
Mais ce bien-être est un bien-être qui doit être partager avec celui de l'éleveur.
Dans cette vidéo de la France Agricole, on voit un éleveur qui a très bien réfléchi à son bâtiment afin d'éviter tout effort inutile et de travailler en toute sécurité.
Un bien pour l'éleveur mais également pour l'agriculteur.
Bonne vidéo!
Article de la France Agricole du 20 janvier 2014
jeudi 23 janvier 2014
Portrait de Rémi : la joie de représenter l'agriculture de demain
Rémi en plein travail! |
Hey ! moi, je m'appelle Rémi Cadio, j'ai 20 ans, et je baigne dans le milieu agricole depuis tout petit, grâce à mes parents.
Je suis également en BTSA ACSE au Gros Chêne et ma formation m'a permis de découvrir le Québec l'année dernière au mois de juin 2013.
Fier d'être agriculteur, je représente la jeunesse en présentant les vaches de mes parents dans les concours.
J'habite Bréhan, commune du pays de Pontivy.
Mon projet d'avenir est de pérenniser la ferme familiale.
Avec les copains, nous porterons haut les couleurs des jeunes agriculteurs bretons à Paris.
Je suis également en BTSA ACSE au Gros Chêne et ma formation m'a permis de découvrir le Québec l'année dernière au mois de juin 2013.
Fier d'être agriculteur, je représente la jeunesse en présentant les vaches de mes parents dans les concours.
J'habite Bréhan, commune du pays de Pontivy.
Mon projet d'avenir est de pérenniser la ferme familiale.
Avec les copains, nous porterons haut les couleurs des jeunes agriculteurs bretons à Paris.
Portrait de Michaël : la fierté d'une agriculture bretonne moderne
Bonjour tout le monde !
Moi, c'est Michaël Harnois.
Comme mes camarades, je suis en BTSA ACSE au Gros Chêne.
J'ai 19 ans et j'habite à Loudéac.
Mordu d'agriculture depuis tout petit, je rêve de m'installer très rapidement sur ma propre exploitation.
Passionné de génétique et de concours, j'ai la chance d'avoir participé à différents concours avec mon maître de stage.
Pour moi le TNLA est la continuité de mon parcours.
Une première ! : même pas peur, mes copains et moi sommes bien décidés à montrer ce que notre lycée et les bretons valent.
Moi, c'est Michaël Harnois.
Comme mes camarades, je suis en BTSA ACSE au Gros Chêne.
J'ai 19 ans et j'habite à Loudéac.
Mordu d'agriculture depuis tout petit, je rêve de m'installer très rapidement sur ma propre exploitation.
Passionné de génétique et de concours, j'ai la chance d'avoir participé à différents concours avec mon maître de stage.
Pour moi le TNLA est la continuité de mon parcours.
Une première ! : même pas peur, mes copains et moi sommes bien décidés à montrer ce que notre lycée et les bretons valent.
Michaël Harnois et sa suite... |
Portrait de Kévin : porter à Paris les couleurs de l'élevage breton
Portrait de Kévin : le noir et blanc lui vont bien, non ? |
Salut !
Je m'appelle Kevin Jaffré et je suis élève en BTSA ACSE au Gros Chêne.
J'ai 20 ans et j'habite à Moustoir-Ac.
Je suis passionné par l'agriculture et les concours qui me permettent de m'épanouir.
Participer au TNLA est donc pour moi une évidence.
Je suis également attiré par le métier de négociant en veau de 8 jours.
Après avoir travaillé dans ce domaine, je compte reprendre une exploitation en centre Bretagne car je suis fier de ma région.
Egalement footballeur, j'ai l'âme battante et je compte bien défendre le Gros Chêne au salon pour sa première participation !!
Je m'appelle Kevin Jaffré et je suis élève en BTSA ACSE au Gros Chêne.
J'ai 20 ans et j'habite à Moustoir-Ac.
Je suis passionné par l'agriculture et les concours qui me permettent de m'épanouir.
Participer au TNLA est donc pour moi une évidence.
Je suis également attiré par le métier de négociant en veau de 8 jours.
Après avoir travaillé dans ce domaine, je compte reprendre une exploitation en centre Bretagne car je suis fier de ma région.
Egalement footballeur, j'ai l'âme battante et je compte bien défendre le Gros Chêne au salon pour sa première participation !!
mardi 21 janvier 2014
Filière lait : le partenariat Franco-Chinois à Carhaix
Aujourd'hui, le groupe français Sodiaal en partenariat avec le groupe Chinois Synutra a commencé la construction d'une usine de lait en poudre.
Les deux tours de séchage de cette future usine permettront de produire du lait en poudre dans la première, et du lactosérum dans la seconde.
Liang Zhang, PDG de Synutra, et Christian Troadec, maire de Carhaix, lors de l'inauguration du chantier. |
Aujourd'hui, le groupe français Sodiaal en partenariat avec le groupe Chinois Synutra a commencé la construction d'une usine de lait en poudre.
Les deux tours de séchage de cette future usine permettront de produire du lait en poudre dans la première, et du lactosérum dans la seconde.
Ce partenariat prévoit la transformation de 288 millions de litres de lait
et la production de 30 000 tonnes de lactosérum par an.
et la production de 30 000 tonnes de lactosérum par an.
Cette usine créera environ 260 emplois.
Synutra, numéro trois chinois des produits infantiles, finance 90 % de cette construction.
C'est le plus gros investissement en matière de production laitière de la Chine à l'étranger.
Synutra, numéro trois chinois des produits infantiles, finance 90 % de cette construction.
C'est le plus gros investissement en matière de production laitière de la Chine à l'étranger.
Merci à Camille et Antoine pour cet article.
lundi 20 janvier 2014
Portrait de Pierre : la ferveur de vouloir découvrir pour mieux transmettre
Bonjour !!!!
Pierre et sa joie de faire découvrir |
Moi c'est Pierre Gueheneux.
J'ai 19 ans et je suis originaire de Rohan, situé à 20 km à l'Est du lycée.
Je suis fils d'éleveur, et c’est sûrement pour ça qu'aujourd’hui je suis en BTSA ACSE au Gros Chêne.
Je passe beaucoup de mon temps autour des vaches dans l’exploitation familiale que je compte reprendre dans le futur.
Mais avant, je devrais travailler ailleurs. Pourquoi pas grâce à un centre de remplacement, pour parcourir les campagnes et m’ouvrir à différentes méthodes d’élevage ?
J’ai la chance d'avoir été bercé dans le milieu Agricole.
J'ai 19 ans et je suis originaire de Rohan, situé à 20 km à l'Est du lycée.
Je suis fils d'éleveur, et c’est sûrement pour ça qu'aujourd’hui je suis en BTSA ACSE au Gros Chêne.
Je passe beaucoup de mon temps autour des vaches dans l’exploitation familiale que je compte reprendre dans le futur.
Mais avant, je devrais travailler ailleurs. Pourquoi pas grâce à un centre de remplacement, pour parcourir les campagnes et m’ouvrir à différentes méthodes d’élevage ?
J’ai la chance d'avoir été bercé dans le milieu Agricole.
Participer au TNLA est pour moi un challenge.
C’est pour ça qu'avec les copains, nous avons décidé de représenter le Gros Chêne !!
C’est pour ça qu'avec les copains, nous avons décidé de représenter le Gros Chêne !!
vendredi 17 janvier 2014
Le Marché du Gros Chêne
Notre lycée professionnel agricole est doté d'une ferme et d'un magasin de producteurs locaux.
Des étudiants de notre classe ont réalisé "avec les moyens du bord" (comme on dit chez nous en Bretagne...) un court-métrage sur les producteurs qui vendent leurs produits au magasin.
Alors, venez découvrir ces producteurs locaux et faire une visite virtuelle du Magasin du Gros Chêne.
jeudi 16 janvier 2014
Le parage des onglons
La parage des onglons d'un bovin (Vidéo France Agricole)
Aujourd'hui, les éleveurs laitiers cherchent à valoriser au mieux la production de leurs animaux.
Pour cela, ils font de plus en plus attention au bien-être de leurs bovins.
Le parage des onglons est une étape importante à réaliser pour contrôler l'état de santé du pied de l'animal afin d'éviter les boiteries.
vendredi 10 janvier 2014
Notre cadeau de Noël : une digue gonflable
Les pompiers ont installé une digue gonflable pour protéger des habitations pontivyennes |
Depuis les fêtes de fin d'année, Pontivy est moins joyeuse que les autres villes car le Blavet est sorti de son lit et a inondé plusieurs commerces et habitations.
Pour éviter que cela ne s'empire, les pompiers ont installé une digue gonflable géante.
Les raisons de ces inondations : la pluie incessante depuis les fêtes, mais aussi le barrage de Guerlédan situé en amont de la ville, dans les Côtes d'Armor.
En effet, pour éviter que le barrage ne cède, il a fallu déversé dans le Blavet le surplus d'eau.
Les inondations étaient donc inévitables.
lundi 6 janvier 2014
Présentation de l'affiche.
Notre affiche |
« Le contact avec mes animaux améliore ma
production »
Aujourd’hui la relation homme-animal représente un véritable enjeu pour l’éleveur. Mais cette relation doit
débuter dès le plus jeunes âge de l’animal afin de créer une relation de confiance. L’éleveur doit être
l’ami de l’animal afin de pouvoir exercer une autorité sur lui grâce à l'entière confiance que l'animal lui portera.
De plus cette confiance passe par le calme de l’éleveur et sa présence régulière auprès de ses
animaux. Cela permet d’une part d'avoir des animaux très sociables et de les libérer de tout
stress, facteur de multiples problèmes.
Cependant, les signes visuels ou auditifs émis par l’éleveur peuvent être perçus différemment par l’animal. Ces signes peuvent ainsi être mal interprétés surtout si l'éleveur est nerveux ou énervé.
Cependant, les signes visuels ou auditifs émis par l’éleveur peuvent être perçus différemment par l’animal. Ces signes peuvent ainsi être mal interprétés surtout si l'éleveur est nerveux ou énervé.
Cette relation de confiance n’est valable
que si l’animal se sent bien, ce qui dépend aussi des conditions de vie de l'animal, de son bien-être matériel.
Enfin, l’ensemble de ces
éléments crée une certaine symbiose entre l’éleveur et son troupeau qui
permet l’amélioration des résultats techniques de la production
de viande ou laitière.
Le bien-être animal passe nécessairement
par le lien
entre l’homme et l’animal dans un élevage bovin d'aujourd’hui.
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